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Book Club - Sorcières

La onzième rencontre sur le thème des Sorcières aura lieu en ligne le 19 octobre 2021 à 19h dans une ambiance décontractée, chaleureuse et sans prétention.



N'oubliez pas votre verre de vin ou tasse de tisane et une couverture bien douce!

Ne vous gênez pas de souper avec nous, ou d’être en pyjama pour la rencontre :)

Vous n’avez qu’à choisir un livre parmi la sélection proposée. Même si vous n’avez pas eu le temps de lire un livre ce mois-ci, vous êtes les bienvenues à vous joindre à nous pour participer à la discussion sur le thème du mois.

Les suggestions du Club de lecture de la JCCFQ «Les Sorcières»


Villages assoupis T.01 -Transtaïga, Ariane Gélinas


Premier tome de la trilogie Les villages assoupis qui met en lumière des villages fantômes québécois, Transtaïga tisse le fil rouge entre les barrages hydro-électriques, les lacs anonymes et les hameaux à la limite de la ligne forestière. Pourvoiries, embarcations en écorce et haltes routières sont clouées dans le récit comme autant d'avertissements mystérieux. Anissa travaille dans une pouponnière de huskies à la lisière de la route Transtaïga quand Annun, son chien de tête, s'attaque à Léonie, l'orgueilleuse vétérinaire. Ce geste d'Annun semble ouvrir une brèche dans la vie d'Anissa; elle monte alors dans sa vieille Lincoln, en direction de la route de la Baie James. Elle souhaite ainsi rejoindre le village fantôme de Combourg, fondé par sa grand-mère. Ce roman que l'on traverse comme une étrange enquête chamanique nous offre une méditation sur les limites de l'ambition dans un environnement où chaque hésitation met la vie en péril et chaque erreur est jugée parla nature.


Source: Les Libraires

(152 pages)



Sorcières : la puissance invaincue des femmes, Mona Chollet


La sorcière est à la fois la victime absolue,celle pour qui on réclame justice, et la rebelleobstinée, insaisissable. Mais qui étaient aujuste celles qui, dans l'Europe de laRenaissance, ont été accusées de sorcellerie ?Quels types de femme ces siècles de terreuront-ils censurés, éliminés, réprimés ? Ce livreen explore trois et examine ce qu'il en resteaujourd'hui, dans nos préjugés et nosreprésentations : la femme indépendante -puisque les veuves et les célibataires furentparticulièrement visées ; la femme sansenfant - puisque l'époque des chasses amarqué a fin de la tolérance pour celles quiprétendaient contrôler leur fécondité ; et lafemme âgée - devenue, et restée depuis, unobjet d'horreur. Enfin, il sera aussi questionde la vision du monde que la traque dessorcières a servi à promouvoir, du rapportguerrier qui s'est développé alors tant àl'égard des femmes que de la nature : unedouble malédiction qui reste à lever.


Source: Les Libraires

(256 pages)




Les lois du jour et de la nuit,

Emmanuelle Caron


Alors que son mari est parti à la guerre,Marguerite apprend qu’il a été fait prisonnier et elle retourne vivre avec son fils dans la forêt où elle a grandi, là où sa mère la terrorise, là où d’étranges personnages gravitent. Marguerite agira en protectrice pour son fils, alors qu’un géant rôde et qu’une histoire de vengeance se prépare. Son mari, pris quant à lui en Indochine, essaie de s’évader.


Source: Alexandra Mignault, Revue Les libraires

(250 pages)





Les filles de Salem : comment nous avons condamné nos enfants, Thomas Gilbert

Salem Village, dans les années 1690. Abigaïl grandit paisiblement aux côtés de sa famille et de ses amies, dans un village typique desÉtats-Unis. Mais quand approche l’âge adulte, son petit monde se transforme peu à peu en enfer sur Terre. Le goût des jeunes femmes pour la liberté de vivre, de danser et d’aimer les mènera à leur perte. Exacerbées par la famine, les superstitions et la bigoterie, les tensions de voisinage poussent les habitants à commettre l’irréparable. Alors qu’aujourd’hui le nom de Salem reste encore synonyme de sorcellerie dans la culture populaire américaine, la véritable histoire du procès de Salem mena près de vingt-cinq personnes à la torture et à la mort. Thomas Gilbert nous livre ici un récit cauchemardesque, bien servi par son style de dessin, tantôt bucolique, tantôt tourmenté.Une très belle bande dessinée, dont l’histoire est bien menée et dévorante.


Source : Carole Besson, librairie Vaugeois, dans la revue Les libraires

(197 pages)



Bonne Lecture ! 😉

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